Carte des Cyclades, ça peut toujours servir et donner de bons repères ! Inclus :
Carte de l’archipel des Cyclades,
Carte de Milos,
Carte d’Ios,
Carte d’Amorgos,
Carte de Mykonos,
Carte de Santorini…
Toutes ces îles vue d’en haut !
Carte des Cyclades, ça peut toujours servir et donner de bons repères ! Inclus :
Carte de l’archipel des Cyclades,
Carte de Milos,
Carte d’Ios,
Carte d’Amorgos,
Carte de Mykonos,
Carte de Santorini…
Toutes ces îles vue d’en haut !
Connaissez-vous le mode HDR des smartphones ? Il permet de réaliser des photos surprenantes. Le principe est simple : prendre deux photos, l’une claire, l’autre foncée, puis de les superposer. Il est possible ensuite de réaliser quelques réglages : contraste, luminosité… Les photos finales ont bien l’air retravaillées, mais le résultat est bluffant ! La preuve en images, avec ces photos “HDR” prises à l’iPhone 4 dans les Cyclades en Grèce.
Certes, l’île de Santorin offre des vues magnifiques. Véritable symbole de la Grèce dans le monde, c’est aussi un véritable aimant à touristes, venus des quatre coins du monde (avec des Japonais ou des Américains, pas forcément si visibles ailleurs dans les Cyclades). L’endroit est aussi particulièrement apprécié par les croisièristes et jeunes mariés.
Du coup, l’île est littéralement bondée l’été, et, encore plus déplaisant, nettement plus chère que ses voisines (Mykonos exceptée). Les prix des restaurants et hôtels peuvent atteindre des cimes, sans pour autant toujours être de très bonne qualité, d’après ce que j’ai compris. Pour ceux qui en ont les moyens, des établissements de luxe, “avec suite nuptiale et jacuzzis privés à flanc de falaise” comme le dit bien le Routard, peuvent cependant en mettre plein la vue.
Bref, vous l’aurez compris, de mon point de vue, et pour les budgets plus serrés, une (grosse) journée peut suffire pour voir les incontournables et prendre les 150 photos que tout le monde y prend.
Le programme de cette journée ? Par exemple, commencer, le matin, par une petite excursion à 25 euros au volcan Nea Kameni (en faible activité) et petit bain dans l’eau orangée par le soufre aux thermes naturelles de Palea Kameni. Puis, pourquoi pas ne pas continuer, l’après midi, par la balade le long de la corniche de Fira à Firostefani, avant de profiter du coucher de soleil à Oia le soir. Ce dernier est particulièrement apprécié. D’ailleurs, honnêtement, je ne comprends pas vraiment pourquoi il suscite un tel engouement – il faut presque réserver sa place pour le voir. Certes, il se couche sur la mer, mais cela reste un coucher de soleil… L’engouement totalement démesuré qu’il suscite est à mon sens ridicule, mais bon.
Autres mauvaises surprises et choses à savoir : le port d’arrivée est, l’été, complètement saturé. Et le vieux port duquel partent les expéditions (volcan ou… coucher de soleil sur Oia) est lui situé en contre-bas. Remonter à pied de ce port à Fira nécessite une bonne forme physique. De plus, la cohorte d’ânes qui portent les touristes que ne cessent de débouler est assez gênante, d’autant que leurs responsables, impolis, se croient tout permis. Bref, le téléphérique est sans doute la meilleure solution. Vous voilà prévenus.
Au final, Santorin est souvent une étape obligatoire d’un séjour dans les Cyclades. Véritable île carte postale (voir ci-dessous), elle mérite le détour… mais pas, à mon sens, plus d’une journée (avec une nuit ou deux nuits max). Dormir et séjourner pas cher à Santorin est possible : il y a un camping, avec piscine, à une quinzaine de minutes de marche de la caldeira de Fira. On peut y dormir pour une quinzaine d’euros par personne.
Située au sud des Cyclades, Santorin est à la fois le nom donné à un archipel composé de 5 îles volcaniques, mais aussi celui de l’île la plus grande, parfois aussi appelé Théra ou Thíra (prononcé Fira).
Sur cette île de Santorin, trois villes concentrent la plupart des touristes.
D’abord, Fira, justement, où se trouve le vieux port d’où partent les excursions et arrivent les nombreux croisiéristes, en général le matin (gare, donc, aux embouteillages pour le téléphérique). Au sommet de la falaise (plus exactement de la caldeira, c’est le terme utilisé, car il s’agit bien du cratère du volcan), Fira concentre de nombreux restaurants, la plupart hors de prix, et paraît-il, pas très bons en moyenne, quelques cafés avec vue splendide, et de nombreuses bijouteries. Lorsqu’on s’éloigne du flanc de falaise, apparaissent des bars attirant les jeunes et des souvlakis aux prix plus accessibles.
A Fira, la balade au flanc de la caldera est incontournable, si magnifique, qu’à chaque pas on a envie de prendre une photo. En continuant quelques minutes vers le Nord sur cette balade, sans s’en apercevoir, on passe à Firostéfani, tout aussi magnifique, où se trouve en fait les vues et la fameuse église tant de fois prises en photos. Le Routard conseille quelques hébergement dans ce coin. Attention, il y a aussi des étbalissement très luxueux.
Enfin, 3e ville très visitée des touristes : Oia, prononcé Ia, tout aussi superbe et touristique si ce n’est plus. Le coucher de soleil y est démesurément apprécié. Un bus, partant de Fira relie souvent, la journée, Oia, en une vingtaine de minutes. L’arrêt central des bus est en effet à Fira.
Ces trois villages sont construits au sommet d’une falaise de 300 mètres
Pour infos, quelques repères sur Santorin :
Nombre d’habitants : 13 447 (au recensement de 2001 selon le Larousse)
Superficie : 176 km2
Sommet : 566 m (Mont Profitis Ilias)